L’exposition Déborder la rivière considère l’Ill comme une entité liée à des ressources, des activités, des espèces. A travers un ensemble d’œuvres qui prennent la rivière comme symbole ou l’Ill comme exemple, l’exposition se donne le temps d’observer ces liens et de se faire l’écho d’un système dans lequel chaque élément d’un paysage est une valeur indispensable à l’épanouissement de l’autre. La voix de l’Ill se mêle à celle des hommes, des plantes et des animaux pour raconter un écosystème idéal dans lequel les droits de chacune des composantes seraient entendus. Avec James Webb.

Utilisant avec la voix comme médium, les œuvres réagissent à la fonte du glacier Folgefonna, aux bouleversements climatiques, ainsi qu’à notre quête de sens face à l’incertitude et au passé. La pièce majeure de l’exposition est A series of personal questions addressed to the Folgefonna glacier, une œuvre commandée spécialement pour l’occasion. L’exposition se conclura avec Glacial Feelings, une conférence tentant de faire émerger une forme de clarté face à la catastrophe climatique en cours, avec des interventions de glaciologues, d’artistes et de psychologues.

Découvrez « A Series of Personal Questions Addressed to a Neolithic Clay Vessel de James Webb », une œuvre qui pose des questions à un vase de 4000 ans, témoin du temps et des histoires humaines. À découvrir au sein de l’exposition « Between Rivers » au Astrup Fearnley Museet, Oslo.

James Webb’s work is characterized by a poetic sensibility, an exploration of multiple histories, mythologies, places and contexts. Now Liljevalchs welcomes James Webb’s first major solo exhibition in his new hometown of Stockholm – The Moon Will Not Stay Hidden Forever.  

With The Moon Will Not Stay Hidden Forever, Webb takes on Sweden, Stockholm and Liljevalchs with his site-specific interventions and installations. Some of the artworks that visitors will encounter are a Viking sword transformed by a series of personal questions, an ensemble singing an 873-year-old hymn inside R1’s nuclear reactor hall, flags made from a vision of a saint, and the song of an alien bird in the Blue Gate garden.

Out in the garden between Liljevalchs and the Blue Gate, you can hear the song of a brown southern shark, native to Tasmania. Webb’s family was sent to Tasmania as convicts in the early 1900s. It is likely that the artist’s ancestors heard the bird’s song, and by placing the song in Liljevalch’s garden in Webb’s new hometown of Stockholm, a circle of movement through time and space is completed.

À bruit secret. L’audition dans l’art est la quatrième d’un cycle de cinq expositions thématiques au Musée Tinguely explorant de manière expérimentale l’univers des cinq sens. Du 22 février au 14 mai 2023, l’exposition fait la part belle au sens de l’ouïe qui joue un rôle majeur dans l’expérience multisensorielle de l’art. Elle propose une multitude de rencontres immersives et interactives dans le champ de l’histoire de l’art avec des univers sonores terrestres familiers ou inconnus. Des œuvres anciennes et d’autres réalisées spécifiquement pour cette exposition par 25 artistes internationaux invitent le public à une écoute attentive tout en lui donnant l’opportunité d’accéder à des espaces acoustiques habituellement imperceptibles par l’oreille humaine. Comment bruisse le paysage sonore rhénan à Bâle ? Quels sons perçoit-on sous la surface de l’océan ? Le tumulte urbain, les cris des animaux et les voix humaines peuvent-ils tenir lieu de matériau visuel et sculptural ? Comment les bruits de la forêt vierge se transforment-ils sous l’influence de l’homme et du changement climatique ? Les ondes acoustiques peuvent-elles être perçues autrement que par les oreilles ? Comment représenter visuellement des phénomènes acoustiques ? L’exposition rassemble des sculptures, installations multimédiales, photographies, travaux sur papier et peintures de la période baroque jusqu’à l’époque contemporaine.

Imaginée par les commissaires Sam Bardaouil et Till Fellrath comme un “manifeste de la fragilité”, la 16e édition de la Biennale d’art contemporain de Lyon affirme la fragilité comme intrinsèquement liée à une forme de résistance, initiée dans le passé, en prise avec le présent et capable d’affronter l’avenir.

L’artiste James Webb active une chaîne de radio, moitié histoire de fantômes, moitié analyse architecturale du quartier. Si vous avez accès au signal, alors le message vous est destiné. Cette émission de radio, sans nom, fait partie de Sånger till Hökarängen (Songs for Hökarängen), une série d’interventions dans le quartier de Hökarängen produite avec la Konsthall C.
Commissariat de l’exposition assuré par Ulrika Flink.

La Listening Academy a pour objectif d’encourager des échanges transdisciplinaires sur le thème de l’écoute qui peuvent apporter une contribution positive à une multitude de contextes et de communautés. En particulier, cette édition de l’Academy réunit un groupe international d’universitaires, de chercheurs et de praticiens dont l’expertise créative et critique permet de diversifier ce que peut être un acte ou un art de l’écoute et comment il peut permettre de penser à côté et avec les complexités de l’expérience globale.

« Nothing here does not hear you » est une installation sonore spécifiquement conçue pour une des salles du « 1820 Settlers’ National Monument » et se nourrit des recherches menées dans cet espace.

L’édition 2021 de la Borås Art Biennial présente les œuvres de plus de 20 artistes suédois et internationaux. La ville de Borås, fondée par des marchands, était autrefois la capitale textile de la Suède et a toujours été identifiée comme une ville de négoce. La rivière Viskan qui traverse la ville témoigne de son passé industriel. Plus récemment, Borås est devenue un pôle en matière d’innovation, de durabilité et de technologie. Deep listening for longing se penche sur l’imaginaire passé et présent de la ville, et au-delà.

Rassemblant des artistes du monde entier qui sont en phase avec ce moment singulier de l’histoire, The Normal propose différentes perspectives internationales, notamment de nouvelles façons de travailler avec les artistes pour produire des œuvres qui répondent aux impératifs de la durabilité. Il s’agit avant tout de mettre en lumière la manière dont nos lois, nos histoires et nos communautés sont enchevêtrées avec les virus, les écosystèmes et entre elles, en mettant en avant le rôle que joue l’art dans l’établissement de différentes relations avec des mondes qui n’ont pas encore émergé.

« Alors que le confinement a momentanément fait taire les villes et arrêté la circulation, les gens ont commencé à percevoir la nature de différentes manières. Dans cette conversation avec les artistes James Webb et Tonya McMullan, nous explorerons comment leurs œuvres s’entremêlent avec la présence d’oiseaux et d’abeilles, en réfléchissant à ce que signifie être conscient, communiquer avec, réfléchir, négocier et vivre aux côtés d’autres espèces ». Talbot Rice Gallery, Edimbourg
Webinar Zoom en accès libre sur réservation

James Webb participe à l’exposition collective Audiosphere. Sound Experimentation 1980-2020 avec une nouvelle oeuvre spécialement commanditée par l’institution.
L’exposition « cherche à combler un vide historique et culturel en termes de reconnaissance, d’exposition et d’analyse d’une partie essentielle des changements récents qui ont eu lieu dans la conception artistique de la création sonore ».

James Webb participe à freq_wave: 7 seas, une installation web sonore et interactive, cur. Carl Michael von Hausswolff et Alonso Vázquez et commandité par la TBA21-Academy.
Comme un cadavre exquis sonore, chaque freq_wave est formée à partir du travail de 12 artistes invités à composer des morceaux audio dans des bandes de fréquences distinctes et strictes. Les morceaux sont réalisés isolément les uns des autres et sont rassemblés dans l’environnement d’une table de mixage en ligne où le public peut jouer les 12 compositions simultanément. Pour cette quatrième itération, tous les morceaux audio ont été créés avec et en réponse à la dynamique conceptuelle et auditive de l’océan Atlantique central.
Artistes participants : Christina Kubisch, Stephen O’Malley, Thierry Charollais, Felix Blume, James Webb, Christine Ödlund, Tim Story, Christopher Chaplin, Mike Harding, Schneider TM, Jacob Kirkegaard et Kent Tankred.

James Webb prend part à l’exposition collective à ciel ouvert Konst i Ån ayant lieu le long de la rivière Norrtälje, cur. Helén Hedensjö (Norrtälje Konsthall).
L’artiste y présente Untitled (duet with one signer missing), une pièce qui reprend le duo d’Olivier Messiaen, « La mort du nombre », ne présente la partie que d’un seul chanteur. La réduction de la pièce originale crée une situation où le rôle de la soprano est primordial, et la lecture des paroles dialectiques de la chanson se trouve altérée par l’absence de celles du ténor.
L’œuvre est diffusée le long de la rivère, près de Lilla Brogatan, tous les jours à la demi-heure de 12h à 18h.
Norrtälje Ån, Suède

James Webb prend part à l’exposition Ernest Mancoba — An Artist and His Legacy, cur. Joanna Sandell
Södertälje Konsthall, Södertälje, Suède