Diffusion en ligne du premier long métrage de l’artiste accompagné d’une introduction KW Institute for Contemporary Art, Berlin, Allemagne
Basma Alsharif, Ouroboros, 2017. Photo © Tadzio
« Une soirée qui nous emmène de Beyrouth, de la vallée de la Beqaa au Liban, de Gaza et Jérusalem au Spitzberg, en Islande, en Bretagne et dans le désert de Mojave. Avec des films d’artistes qui regardent les paysages sous l’angle du souvenir et de l’exil, comme le film expérimental Ouroboros (2017) de Basma Alsharif et l’essai visuel Errans (2019) de Mira Adoumier ». La soirée est organisée par Nat Muller, commissaire invité de l’exposition « Trembling Landscapes : Entre réalité et fiction ». Avec une introduction de Lara Khaldi. Suivie d’une séance de questions-réponses avec Basma Alsharif.
Image : Basma Alsharif, Ouroboros, 2017. Vue d’installation.
Un mois de diffusion de films (par des femmes palestiniennes) pour une Palestine libre, avec des œuvres de Jumana Manna, Basma Alsharif, Rosalind Nashashibi, Razan AlSalah, Mahasen Nasser-Eldin, Larissa Sansour, Emily Jacir, Mona Benyamin, Lokman Slim/Monika Borgmann, Pary El-Qalqili, Layaly Badr, Shuruq Harb, Mai Masri et d’autres à venir !
Projections de 18h à 23h, à la galerie et en direct via le compte Youtube de la galerie Nordenhake Avec : Wang Shui, Himali Singh Soin, Tania Ximena, Garush Melkonyan, Luiz Roque, Basma Alsharif, Tuan Andrew Nguyen, Yang Fudong, Kandis Williams, Karrabing Film Collective, Laura Huertas Millán, Kiluanji Kia Henda, Fernando Ocaña Organisé par Samantha Ozer
Basma Alsharif, Ouroboros, 2017, Capture vidéo
L’exposition présente une sélection de 60 films mettant en perspective des générations, des origines, des géographies, des histoires sous des formes narratives extrêmement variées. Cette exposition, cartographie du temps, questionne notre monde contemporain. Elle est déployée en cinq chapitres successifs — cinq plateaux — qui exposent et déclinent des formes de résistance, « d’inquiétance».
Basma Alsharif, The story of milk and honey, film still, 2011
Projection du film de Basma Alsharif dans le cadre du festival Queer Festival for Palestine. Programme complet : CONGRESS OF IDLING PERSONS, Bassem Saad, 2021, 36 min ; THE WHITE ELEPHANT, Shuruq Harb, 2018, 12 min et O, PERSECUTED, Basma Alsharif, 2014, 11 min
Basma Alsharif, O, Persecuted, 2014
The Ruttenberg Contemporary Photography Series La toute dernière œuvre d’Al-Sharif, Capital – qui comprend une installation vidéo à deux écrans et une série de bannières représentant des représentations architecturales d’espaces urbains – (…) laisse entrevoir les limites de la liberté d’expression et révèle comment l’héritage du fascisme perdure dans le présent.
Installation views of Basma al-Sharif: Capital—Ruttenberg Contemporary Photography Series, March 12, 2022 – July 25, 2022, Gallery 188, The Art Institute of Chicago. Image courtesy of The Art Institute of Chicago.
L’exposition collective Back of My Hand part de la manière dont différents artistes travaillent le potentiel poétique et politique de la main, et sa relation avec certaines dynamiques impliquées dans l'(in)visibilité des images. En ce sens, cette exposition présente une série d’œuvres dans lesquelles la main apparaît comme un dispositif d’action, de révélation ou de performativité, visant à remettre en question certaines structures de connaissance et de récit historique, et à réfléchir à un espace tendu entre ce que l’image rend visible, et ce qui existe en elle en résistance et en inintelligibilité. Commissariat : Sara Castelo Branco
Basma al-Sharif, Deep Sleep, 2014. © Basma al-Sharif
La Biennale de Kochi-Muziris est une exposition internationale d’art contemporain qui se tient à Kochi, dans le Kerala, tous les deux ans. En célébrant l’art contemporain du monde entier, la Biennale de Kochi-Muziris cherche à évoquer l’héritage cosmopolite historique de la métropole moderne de Kochi et de son prédécesseur mythique, l’ancien port de Muziris. En coopération avec le Muziris Heritage Project, la Biennale de Kochi-Muziris cherche à faire le lien entre le passé et le présent. Cette 5e édition est placée sous le commissariat de l’artiste et autrice Shubigi Rao.
« Cette édition de la Biennale de Kochi-Muziris incarne donc la joie d’expérimenter des pratiques de sensibilités divergentes, dans des conditions à la fois joyeuses et sinistres. Il y a de l’optimisme même dans l’absurdité la plus sombre, et c’est ce qui adoucit la gravité de notre époque. C’est dans la robustesse de l’humour que nous pouvons imaginer la possibilité d’une parenté durable, et nous rappeler que nous ne sommes pas isolés dans ce combat. Et que, peut-être, tout ce qu’il faut pour qu’un idéal impossible existe, c’est qu’un nombre suffisant de personnes vivent, pensent et travaillent comme s’il existait déjà. » Shubigi Rao.
Basma al-Sharif fait partie des artistes nominées pour le prix AWARE 2024.